Chaque époque a ses peurs, chaque peur son époque. En Guinée, c’est bien la peur du lendemain, celui du passage du désordre normatif et
institutionnel au chaos généralisé suite à l’imposition au forceps des législatives et du référendum qui constitue la préoccupation du plus grand nombre. Derrière les torts possibles, réels, imaginés ou craints attribués au Professeur Alpha Condé ou au gouvernement, reste cependant qu’en pareilles irconstances y il a toujours des effets pervers et des réalités souterraines à l’œuvre et à la manœuvre.
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