Les femmes entrepreneurs africaines élargissent leurs réseaux d’affaires aux États-Unis

Le groupe de cette année représente le Cameroun, la République centrafricaine, la Côte d'Ivoire, la Guinée, le Kenya, le Libéria, le Niger, le Nigeria, le Rwanda, l'Afrique du Sud, la Tanzanie, le Togo et le Zimbabwe

Vingt-deux femmes entrepreneurs de 13 pays africains arrivent aux États-Unis cette semaine pour établir des liens avec leurs homologues américaines et accélérer la croissance de leurs entreprises. Les femmes d’affaires du programme AWEP (Programme de l’entrepreneuriat féminin en Afrique) de cette année se joignent à un réseau qui a créé des milliers d’emplois et plus de 20 associations commerciales de femmes en Afrique subsaharienne. L’initiative promeut la croissance des entreprises et accroît les échanges aussi bien au niveau régional qu’avec le marché américain par le biais de l’AGOA (Loi sur la croissance et les possibilités économiques en Afrique).

Le programme AWEP, qui se déroule jusqu’au 27 juillet, est une initiative spéciale du programme IVLP (programme de leadership de visiteurs internationaux), qui en est désormais à sa neuvième année de mise en valeur des femmes entrepreneurs qui transforment leur société par le biais des affaires, et qui sont des voix pour le plaidoyer social au sein de leur communauté. Les femmes visiteront des sociétés privées américaines, des incubateurs d’entreprises, des institutions financières, des établissements scolaires et des institutions de mentorat.

Le programme commence à Washington, se poursuit sur Santa Fe et Albuquerque et se scinde ensuite en petits groupes sur base des secteurs représentés pour aller à Atlanta, Portland ou encore San Diego. Le groupe se retrouve ensuite au complet à Chicago pour la clôture du programme.

Le groupe de cette année représente le Cameroun, la République centrafricaine, la Côte d’Ivoire, la Guinée, le Kenya, le Libéria, le Niger, le Nigeria, le Rwanda, l’Afrique du Sud, la Tanzanie, le Togo et le Zimbabwe. Les femmes rentreront chez elles pour poursuivre leur travail de plaidoyer en faveur des femmes avec les chapitres de l’AWEP présents dans plus d’une douzaine de pays.

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