Des carrières de granites abandonnées font des victimes à gnogoroyah préfecture de Coyah

Ce   sont   des   carrières   devenues   des   tombeaux   ouverts.  A  gnogoroyah,  des   carrières de granites en abandon sont devenues un danger pour les riverains. 3 personnes ont trouvé   la   mort   dans   ces   sites   qui   n’ont   pas   été   restaurés par ceux     qui l’ont exploité.   Des   populations     tirent   la   sonnette  d’alarme    et   plaident pour la sécurisation des   lieux.

Ces   carrières    ont été   exploitées par   les    sociétés   katex  de Roda  fawaz et Afako.  Depuis   leur     départ  il   y’   4  ans     ,    ces   sites   sont  abandonnés et deviennent   danger permanent pour ceux qui y habitent.   Selon Mariam Diallo fonctionnaire au ministère de la coopération,  trois personnes sont restées dans cette carrière  de labo.

:   Le dernier en   cas en   date, c’était un ivoirien, il a   eu des   soucis   à l’usine ici à Coyah et on l’a enfermé. Quant   il   sorti   pour   enlever la poisse comme il est de coutume chez nous, il s’est plongé dans l’eau et il n’est plus ressorti déplore cette habitante de gnogoroyah  qui tire la sonnette d’alarme :

A    deux  kilomètres   de     cette carrière  de granite  se  trouve également une  autre .    Les  citoyens de friguiadi ou elle installée,  courent aussi les mêmes dangers.

Cette  autre carrière, on   l’appelle tomber   mort.  Quant tu te retrouve dedans, y’a   aucune possibilité de te sauver et des enfants viennent y jouer et parfois aident leurs parents à casser des granites pour obtenir des graviers témoigne notre guide Maimouna Barry .

Cette triste réalité  viole le  code minier  qui stipule la restauration des sites après exploitation. Le chef de secteur de gnogoroah dit avoir interpellé  le préfet de coyah sur les dangers de ces carrières abandonnées. Mais aucune suite favorable indique Ibrahima Diall

Ce  que souhaite   le   chef de secteur, c’est la sécurisation des lieux pour   parer à toute situation malheureuse.

Les responsables de familles craignent pour la vie de leurs enfants. Ils  appellent les autorités au plus  haut niveau à restaurer ces sites qui sont devenus des tombeaux ouverts.

 

Soul barry pour Kakilambe

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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